L'auteure s'est intéressée à l'autodéterminiation et a posé quatre hypothèses : 1/ la notion d'autodétermination n'est pas ou peu connue des personnes accompagnées et des professionnels, 2/ l'établissement favorise l'autodétermination des résidents, 3/ l'autodétermination peut être mise en place sans être nommée comme telle par les personnes accompagnées et les professionnels, 4/ la vie en Maison d'accueil spécialisée (MAS) freine l'expression des besoins et les aspirations des personnes accompagnées ainsi que l'autodétermination des résidents. [Texte intégral joint, accès restreint à l'INSHEA]