Ce mémoire montre que l'enfant sourd peut développer ses compétences (de compréhension, de réception et d'acquisition de la langue française) à condition d'être entouré, et que, par écrit ou par oral, le codeur et l'orthophoniste travaillent réellement en commun pour le bien de l'enfant. Toutefois les écoles éloignées ou les codeurs isolés ne peuvent instaurer des méthodes de collaboration qu'en fonction de leurs contraintes.