Aux directives d'accueillir l'élève en situation de handicap dans l'école ordinaire, selon le principe du mouvement inclusif, certains répliquent qu'érigée en dogme l'inclusion scolaire est un leurre, "un mensonge" même. Les arguments avancés concernent surtout les moyens, jugés insuffisants, et le traitement des différences, que l'on banaliserait. C'est sur ce dernier point que Jean-Pierre Garel s'interroge, concernant l'EPS: quelle est la pertinence des adaptations privilégiées par les enseignants pour prendre en compte les différences liées au handicap ?