Pendant longtemps, les personnes porteuses d'un handicap ont été bannies de toute vie sexuelle. À l'IME de Blain (Loire-Atlantique), l'éducation à la vie affective passe par l'apprentissage de la vie sociale et du respect de l'autre. Une autre structure montre comment on peut pousser à l'extrême le vécu d'une sexualité qu'aucun prétexte de déficience ne saurait freiner. Le psychanalyste Denis Vaginay revendique le registre du droit commun pour des pratiques d'éducation à la vie affective reposant sur un principe : l'égalité des êtres humains. [Résumé d'auteur]