L'auteure questionne le clivage fréquent qu'il y a entre soin et prévention ainsi que la légitimité du psychologue, parfois mise à mal, lorsqu'il s'agit de définir son périmètre auprès des différents interlocuteurs. Pour l'auteure, l'intervention du psychologue doit être davantage abordée en termes de compétences plutôt que de pratiques.