À côté des questions de santé publique que pose l'utilisation des écrans, notamment en termes de temps et de contenu, nous choisissons ici d'adopter un angle de vue intégratif et psychodynamique pour essayer d'analyser, à partir d'un cas clinique, en quoi l'utilisation des écrans peut être un symptôme de décrochage scolaire et de dysfonctionnement familial. En choisissant cette posture, nous attachons une valeur subjective à la place donnée aux écrans, ce qui ouvre la voie au psychologue de l'Éducation nationale pour travailler à lui donner du sens. [Résumé d'auteur]