L'auteur étudie ce qu'est un adulte aujourd'hui et comment cela se conjugue pour les personnes avec un handicap mental. Pour lui la déficience intellectuelle n'existe pas en soi, il faut plutôt parler « des déficiences », et l'éthique est un levier puissant pour soutenir la responsabilité et l'autodétermination des personnes avec un handicap mental, comme l'est également la reconnaissance de leur vie affective et de leur sexualité.