Les châtiments corporels ont été progressivement interdits en Europe, d'abord dans les établissements pénitentiaires pour enfants délinquants, puis à l'école. C'est désormais dans le cadre familial que la question est posée. En France, le débat trouve des partisans et des défenseurs, les uns au nom d'une autorité à asseoir, les autres au nom du respect des droits de l'enfant, qui visent à instituer ce dernier comme sujet de droit.